Advent Pieces : Limited – Final Fantasy VII Advent Children
Développeur : Square Enix
Éditeur : Square Enix
Date de sortie : septembre 2005
Troisième journée de découverte du coffret Advent Pieces : Limited. Nous avons vu ensemble le côté film et le côté jeu vidéo, mais il reste quelques surprises… Aujourd’hui, parlons mode !
Il faut tout d’abord que je vous conte une histoire concernant Tetsuya Nomura. Celui-ci, non content d’avoir été mis en avant pour la réalisation du film Advent Children (son nom est sur tous les coffrets DVD en grosses lettres…), a très clairement imposé certaines choses sur le volet graphique. Il a par exemple décidé de travailler avec un tatoueur réel nommé Jun Matsui. Celui-ci, très en vogue au Japon, a designé un tatouage pour le personnage de Barret Wallace dans Advent Children. Il a également travaillé avec Nomura pour réaliser divers visuels destinés à produire du merchandising. C’est là qu’intervient notre coffret de l’enfer.
Advent Pieces : Limited – Final Fantasy VII Advent Children propose en effet deux pièces d’habillement reprenant les dessins de Nomura et Matsui. Tout d’abord, une casquette noire que je trouve personnellement assez peu seyante. Celle-ci arbore deux graphismes originaux : une broderie sur le haut de la casquette, argentée, qui n’a que peu d’intérêt ; et une autre broderie plus discrète et plus intéressante sur la visière de l’objet. Ce dernier design représente les deux « F » du logo « Final Fantasy », dans un style très proche de celui du logo de FFII sur Famicom. En noir sur noir, je trouve cela vraiment très classe.
Le second cadeau, c’est un simple T-shirt noir (Nomura a vraiment un problème avec les habits noirs, FFXV l’a prouvé…), mais subtilement rehaussé d’un logo de loup (Fenrir) en noir sur noir. Une bien jolie affaire, surtout que la seule étiquette de l’objet ne laisse transparaître qu’un laconique « MATSUI + NOMURA » du plus bel effet. La casquette est proposée dans un étui en carton reprenant lui aussi le logo Fenrir.
Avouez que ce coffret commence à avoir de la gueule, non ? Eh bien vous verrez demain à quel point il en a. Car vous n’êtes pas au bout de vos peines !
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