Darksiders

On peut dire que quand j'ai reçu Darksiders de la part de THQ, j’ai cru à la bonne blague de potache. Il faut préciser qu'avant de m'envoyer le jeu, ils m'avaient un peu effrayé avec des menaces de mort dans ma boîte aux lettres et un calendrier de l'avent très second degré clamant « vos jours sont comptés ». Je dois bien avouer que toute cette communication m'avait interpellé, même si le jeu me paraissait bien éloigné des RPG. Une fois quelques heures passées dans le jeu, je me suis rendu compte que j'avais en fait affaire à un Zelda sous stéroïdes. Dit comme ça, cela peut paraître bizarre, mais c'est pourtant le cas : vous greffez une bonne grosse paire de… disons de noix de coco... à Link, vous lui filez une épée trois fois plus grande que lui, vous le relookez pour qu'il fasse peur à Kratos de God of War et pouf !, vous obtenez Darksiders. Ha, j'oubliais : vous rajoutez un scénario un peu super sympa et pas mièvre pour un sou, aussi. Ça change du sauvetage de poules et de la conduite de trains.

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