Drakensang : kit de bière (goodies)
Développeur : DTP
Hier, je vous ai parlé de Drakensang et de l’Œil Noir. Mais vous savez que j’entretenais d’excellentes relations avec DTP et un certain responsable des médias qui avait fait pas mal de kilomètres depuis l’Allemagne pour me présenter ses nouveautés. Eh bien ce monsieur me réservait encore une dernière surprise lors de la Gamescom 2009…
Avant toute chose, il faut savoir que Ferdok est une petite province de 3000 habitants à l’est de la ville principale de Gareth… dans le monde imaginaire de Drakensang. Et dans cette ville à forte population naine est brassée la fameuse « bière blonde de Ferdok », soit en allemand la « Helles Ferdoker ». Comme Drakensang est un jeu allemand et que la bière est pour ce peuple une religion, il semblait normal à DTP (les producteurs du jeu) de lancer la production réelle de cette bière pour faire un peu de buzz. Ainsi, dans certains événements en Allemagne les fans pouvaient se procurer de la bière « made in Drakensang ». Ludique, ce concept sera réutilisé puisque j’ai pu goûter à la même chose lors de la présentation de Cyberpunk 2077 bien des années plus tard… DTP se chargea de créer dans la foulée des bocks de bière vendus de-ci de-là. Rien de bien conséquent, mais des objets inestimables pour les fans.
Et à la Gamescom 2009, il y eut un petit plus. En effet, DTP se dit qu’une tombola pour le public pouvait être amusante, et les premiers prix se devaient d’être exceptionnels. Ils fabriquèrent donc une cinquantaine de boîtes en bois marquées au logo de la Helles Ferdoker, contenant une bière et un bock (avec une couleur unique) dans un écrin de fausse paille du plus bel effet. Quelques-unes de ces boîtes furent donc gagnées, et celles qui restaient furent partagées entre les responsables de chez DTP et quelques autres chanceuses personnes, dont votre hôte.
À ma connaissance, aucune de ces boîtes n’a été gardée en l’état (bière non bue) à part la mienne. Je vous laisse donc avec les photos de cet improbable objet qui mêle magnifiquement le numérique et le réel. Prosit !
Und Danke schön, Claas Wolter !