Éditeur : Square
Dates de sortie :
En ce qui me concerne, je maudis FFIX. Personnages caricaturaux et insupportables (mention spéciale à Steiner qui fait un bruit ignoble en se déplaçant quand on le prend dans l’équipe), transes (coups spéciaux) inutiles à pleurer, invocations sympatoches mais inutilisables pendant 50% du jeu, twist final du scénario téléphoné à l’extrême, « méchant » du jeu loin d’être charismatique… Et pourtant, je peux y rejouer sans problème. Pourquoi ? Mais parce que la machine est tellement bien huilée que ça marche : le fan-service fonctionne très bien et les musiques de Uematsu cimentent parfaitement les trous du script. En gros, il s’agit peut-être du FF (hors les deux premiers) que j’aime le moins, mais je ne peux aucunement reprocher à quiconque de me dire qu’il en est follement amoureux.