Développeur : Square
Éditeur : Square
Date de sortie : 6 décembre 1992
Mais oublions Robin des Bois pour nous concentrer sur Final Fantasy V. Il met en avant un jeune garçon, Bartz (ou Butz, mais en anglais ça passe moins bien), qui se balade sur son Chocobo quand une météorite se vautre non loin. Il décide d’en avoir le cœur net, et va rencontrer en chemin une jeune femme et un vieux bonhomme. Les deux doivent se rendre au temple du vent, et après quelques péripéties Bartz les accompagne. Pas de bol, les chemins sont coupés à cause d’un tremblement de terre et ils vont devoir trouver un moyen d’y parvenir par la mer. Ça, c’est la partie classique du jeu. Pour le reste, le scénario est totalement barré. C’est probablement pour cela que FFV est un de mes Final Fantasy préférés.
Du côté du système, on retourne à un principe de jobs qui peuvent cette fois-ci être changés à la volée, les personnages pouvant être légèrement multiclassés. C’est un peu déroutant au départ, mais cela fait finalement assez bien le… job (rires enregistrés).
Final Fantasy V n’est pas comme les autres FF. Il est à côté de tout ce qui se faisait à l’époque, osant l’humour décalé et les ennemis improbables (le boss final est tout de même un arbre démoniaque). Square lui a même dédié une série animée de 4 OAV expliquant les événements postérieurs au jeu nommée Final Fantasy (Final Fantasy Legend of the Crystals aux USA, mais la version en VHS française n’utilise pas ce sous-titre, comme vous pouvez le voir sur mes photos).