Final Fantasy XIII-2 : Édition Collector / Collector’s Edition / Pack de précommande (PS3, Xbox 360)
Développeur : Square Enix
Éditeur : Square Enix
Dates de sortie :
- USA : 31 janvier 2012
- Europe : 3 février 2012
Je veux revenir ici sur les différentes éditions collector de Final Fantasy XIII-2. Pourquoi ? Tout d’abord parce que c’est sympa de les découvrir, et ensuite parce qu’on s’est quand même bien fait enfler, en France.
Commençons ce tour d’horizon avec le bonus de précommande qui était disponible dans pas mal de magasins. Celui est composé d’un boîtier en métal (Steelbook), d’un code pour télécharger le DLC « combattre avec style », de trois cartes illustrées cartonnées et d’une nouvelle de 32 pages nommée « Épisode I » censé faire le lien entre les deux jeux. Cette nouvelle n’est présente dans aucune autre édition.
La version collector française, qui semble à première vue bien sympathique, propose pour sa part en plus du jeu une lithographie lenticulaire, six cartes illustrées cartonnées et un art-book de 48 pages. Et sous tout cela, vous trouvez une OST… enfin, un CD audio avec 6 titres « choisis par les compositeurs », paraît-il. Rien de fou, mais au moins c’est un peu mieux qu’une bête boîte.
La version collector américaine, elle, fait les choses en grand. Certes, elle n’offre pas de lithographie lenticulaire (en même temps on s’en fout un peu), mais elle se présente sous la forme d’un digipak luxueux très proche de ceux que je vous ai présentés avec le coffret anniversaire des 25 ans (voir les 13 chroniques de décembre 2023) ! Ce digipak renferme non seulement le jeu, mais également un artbook (de 20 pages seulement) et… l’OST intégrale de FFXIII-2, soit quatre CD comprenant 78 titres pour un total de… CINQ HEURES de musique ! On est bien loin des 6 maigres titres de notre version collector de gueux, non ?
Mais tout est relatif, avec Square Enix. Car outre ces versions collector, l’Europe a bénéficié d’une version encore plus rare (et chère), nommée « Édition Cristal » qui n’a vu le jour que chez nous. Et là, pour une fois, nous avons été gâtés. Mais nous verrons cela demain, si vous le voulez bien.