En 2007, Die Hard 4 : Retour en enfer a catapulté John McClane dans une ère où les méchants troquent les mitraillettes contre des claviers. Mais rassurez-vous : même face à une cyberattaque d’échelle nationale, McClane garde sa signature—des poings et des punchlines qui claquent. Alors, ce retour était-il un coup de maître ou un saut de trop dans le vide ? Préparez-vous à une analyse explosive, digne d'un saut en hélicoptère en pleine autoroute.
Cette fois, notre héros n’a pas à désamorcer de bombes ou à libérer des otages… du moins pas directement. McClane est propulsé dans un complot où un groupe de hackers dirigé par Thomas Gabriel (évidemment mécontent d’avoir été écarté par le gouvernement) tente de paralyser les infrastructures américaines.
Accompagné d’un jeune pirate informatique, McClane doit affronter une armée de sbires, déjouer des attaques numériques et sauver sa fille kidnappée—le tout avec un style inimitable. Oui, il peut encore tout faire avec un pistolet et une bonne dose de ténacité.
Avec Die Hard 4 : Retour en enfer, la franchise prouve qu’elle peut évoluer avec son temps sans perdre son ADN. Ce n’est pas aussi brut que les premiers volets, mais c’est un divertissement survoltant, bourré d’humour et d’action. Idéal pour une soirée pop-corn où on débranche son cerveau pour profiter du spectacle.
Soyons clairs : Die Hard 4 n’est pas un chef-d’œuvre cinématographique. Mais qu’est-ce qu’il est fun ! C’est un pur concentré de plaisir coupable où chaque scène semble défier la gravité et le bon sens. Vous riez, vous hurlez, et parfois vous vous demandez : « Mais comment diable fait-il encore debout ? »
Et pourtant, on pardonne tout. Parce que voir Bruce Willis balancer un « Yippee-ki-yay, pauvre con ! » dans un contexte de guerre numérique, c’est juste irrésistible.
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