Quand on parle de films de Noël, on pense souvent à des histoires pleines de magie, de guirlandes et de bons sentiments. Et puis il y a Gremlins, sorti en 1984, qui prend ces clichés et les écrase sous une avalanche de chaos hilarant.
Avec un Mogwaï trop mignon pour être vrai, des règles strictes (que personne ne respecte jamais) et une bande de petites créatures malveillantes prêtes à tout détruire, ce classique de Joe Dante est à la fois un film familial et un délicieux cauchemar. Prêt à revivre cette aventure ? Attachez vos guirlandes !
Tout commence de façon innocente : Rand Peltzer, un inventeur aussi doué que ses machines (c'est-à-dire pas du tout), cherche un cadeau original pour son fils Billy. Dans une boutique chinoise remplie de bric-à-brac mystérieux, il tombe sur Gizmo, un Mogwaï adorable qui chante comme un ange.
Seul problème ? Gizmo vient avec trois règles simples mais cruciales :
Vous vous doutez bien que toutes ces règles vont être joyeusement ignorées. Résultat : Gizmo se retrouve papa d’une bande de Gremlins bien moins mignons, prêts à semer la pagaille dans la petite ville tranquille de Kingston Falls.
Soyons honnêtes : si vous avez vu Gremlins, vous avez probablement rêvé d’avoir un Gizmo chez vous. Avec ses grands yeux pleins d’innocence, ses petits "miiii" et son sens du rythme impeccable, il est l’exemple parfait du cadeau trop mignon qui finit par ruiner votre salon.
Mais attention, Gizmo n’est pas qu’un spectateur. Quand les Gremlins débarquent, il prouve qu’il a aussi un côté héroïque, prêt à affronter ses rejetons démoniaques pour sauver la situation. Bref, une peluche vivante et un héros en un seul être poilu.
Si Gizmo est l’image de la mignonnerie, ses "enfants" sont tout l’inverse. Les Gremlins, avec leur sourire diabolique et leurs oreilles pointues, transforment Kingston Falls en un chaos total. Ils s’infiltrent dans les bars, sabotent les décorations de Noël et provoquent des explosions juste pour le plaisir.
Mention spéciale à Stripe, le chef de la bande, reconnaissable à sa crête blanche. Ce Gremlin n’a qu’un seul but : pousser le chaos à son paroxysme... tout en s’amusant comme un fou.
Impossible de parler de Gremlins sans évoquer certaines scènes qui sont devenues légendaires :
Ces moments, entre horreur légère et comédie déjantée, font le charme unique du film.
Ce qui rend Gremlins si spécial, c’est son cadre de Noël. Alors que tout devrait respirer la paix et la joie, la ville se retrouve envahie par des créatures qui transforment les guirlandes lumineuses en armes et les chants de Noël en cris de terreur.
C’est un contraste parfait entre l’esprit des fêtes et le chaos total, qui donne au film son humour grinçant.
Les règles données par le vieux monsieur dans la boutique semblent simples, non ? Pourtant, elles semblent conçues pour être brisées. Sérieusement, qui sait exactement quand "après minuit" s’arrête ? Et pourquoi les Gremlins ne réagissent pas à l’eau dans l’air ?
Ces petites incohérences logiques ajoutent au charme absurde du film, tout en laissant le spectateur se demander comment Billy a réussi à survivre aussi longtemps.
Joe Dante réussit un équilibre presque impossible : rendre les Gremlins à la fois terrifiants et hilarants. La bande-son contribue à cette ambiance unique, avec des morceaux joyeux transformés en hymnes du chaos.
Le film ne tombe jamais dans la noirceur totale, mais il garde une pointe de menace constante, ce qui le rend parfait pour une soirée de rires et de frissons.
Figurine articulée en PVC d'environ 15 cm
Figurine en vinyle d'environ 9 cm
compatible avec micro-ondes et lave-vaisselle contenance 32 cl