S’il y a bien un film qui incarne à la perfection le concept de "suite réussie", c’est Retour vers le Futur 2. Imaginez un instant : Marty McFly, toujours aussi cool avec son gilet rouge iconique, qui s’embarque dans une aventure encore plus dingue. Des voitures volantes, des hoverboards, et un Doc Brown toujours à deux doigts de la surchauffe cérébrale. Si le premier film nous faisait rêver de voyager dans le temps, le deuxième nous donne envie d’ouvrir une boutique de gadgets futuristes.
Le film démarre exactement là où le premier s’était arrêté. Marty, Doc et Jennifer montent à bord de la DeLorean pour se rendre en… 2015. Oui, vous avez bien lu. Et non, vous n’avez pas raté l’apparition des hoverboards dans nos rues. Ils existent juste dans une dimension où le futur est plus cool que le nôtre.
Le but ? Empêcher un problème familial futur : le fils de Marty (un garçon aussi futé qu’une brique) est sur le point de ruiner la dynastie McFly en se faisant embarquer dans une sombre affaire de vol. Simple, non ? Eh bien, non. Doc aurait dû savoir qu’envoyer Marty dans le futur, même pour cinq minutes, c’est comme demander à un enfant de ne pas toucher au gâteau posé sur la table.
Marty tombe sur un almanach sportif qui recense tous les résultats de matchs jusqu’en 2000. Son idée ? Parier et devenir riche. Mais Biff Tannen, le méchant local, a des plans encore plus machiavéliques. Il vole l’almanach, retourne en 1955, et crée une dystopie dans laquelle il est à la tête d’un empire. Résultat : Marty et Doc doivent à nouveau corriger les dégâts.
Marty McFly est toujours aussi attachant, mais un peu plus… disons, têtu. Ce type ne peut pas entendre quelqu’un le traiter de "mauviette" sans plonger tête baissée dans des ennuis. C’est à se demander si ce n’est pas une malédiction familiale.
De son côté, Doc Brown est fidèle à lui-même : un génie excentrique qui vit dans un état constant d’excitation électrique. Avec ses schémas complexes et ses explications incompréhensibles, il arrive toujours à faire croire que tout est sous contrôle. Spoiler : rien ne l’est jamais.
Ah, 2015, selon Retour vers le Futur 2. Une époque où les voitures volent, où les pizzas se réhydratent en quelques secondes, et où les chaussures se lacent toutes seules. Avouons-le : si ce futur-là avait existé, on aurait tous sauté dedans.
Malheureusement, notre 2015 réel était bien plus banal. Les hoverboards ? On a eu des trottinettes électriques. Les voitures volantes ? Toujours coincées au sol. Et les vêtements auto-séchants ? Remplacés par des sèche-linges.
Mais qu’importe ! Le film nous transporte dans un monde futuriste haut en couleurs, avec des pubs holographiques et des rues aussi chaotiques qu’un centre commercial un jour de soldes. C’est kitsch, c’est brillant, et c’est tout simplement génial.
Biff Tannen est sans doute l’un des méchants les plus têtus de l’histoire du cinéma. Ce gars-là trouve toujours un moyen de compliquer la vie de Marty, que ce soit en 1955, en 1985 ou en 2015. Dans cette suite, il devient carrément terrifiant lorsqu’il se transforme en une sorte de Donald Trump avant l’heure, avec une coupe de cheveux qui mérite un film à elle seule.
Et pourtant, malgré son comportement exécrable, on ne peut s’empêcher de l’apprécier. Parce qu’après tout, un bon méchant, c’est celui qu’on adore détester.
Les règles du voyage dans le temps sont encore plus tordues dans ce deuxième film. Entre les timelines alternées, les boucles temporelles, et les paradoxes, on pourrait finir avec un mal de tête aussi grand que celui de Marty en se réveillant en 1985 version dystopie.
Mais c’est précisément ce chaos qui rend le film si captivant. À chaque saut temporel, on découvre un nouveau problème à résoudre, un nouveau décor fascinant, et une nouvelle manière pour Marty de s’attirer des ennuis.
Retour vers le Futur 2 est un chef-d’œuvre de créativité. Le scénario jongle entre les époques avec une fluidité remarquable, les répliques sont toujours aussi savoureuses, et les clins d’œil au premier film sont aussi nombreux que bien intégrés.
Et bien sûr, il y a cette scène d’anthologie avec l’hoverboard. Qui n’a pas rêvé de flotter au-dessus du sol avec autant de style que Marty, même en étant poursuivi par une bande de voyous volants ?
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