Éditeur : Banpresto
Dates de sortie :
Le jeu est identique au précédent, alors je vais plutôt me pencher sur les différences entre les deux versions, Saturn et PlayStation. Premièrement, la carte des intermissions (si vous ne savez pas ce que c’est, c’est que les T-RPG japonais ne sont pas pour vous) est en 3D sur PlayStation, alors que la Saturn la proposait en 2D. Est-ce que c’est mieux ? Pas forcément.
Ensuite, des bugs ont été corrigés. Dit comme ça, cela paraît peu important, mais sur Saturn un « léger » glitch pouvait… effacer votre sauvegarde. D’un coup, c’est plus ennuyeux.
Il est tout de même à noter que le doublage vocal de ces deux titres est excellent, et plutôt inattendu sur un titre de ce genre à l’époque (le premier remake de SRW4 était également le premier SRW doublé, en passant). À part ça…
Que dire, si ce n’est que le jeu ayant été littéralement coupé en deux, il ne s’agit que de la fin du précédent ? Que sept mois, pour les possesseurs du premier sur Saturn, c’est assez pour oublier le début du jeu ? Que la version PlayStation aurait tout à fait pu tenir sur un seul CD (ou au moins dans une seule boîte), vu que le jeu était terminé avant la sortie de la première partie, mais que l’argument marketing était trop fort pour Banpresto ? Bah, au moins on peut en rire en 2024, c’est déjà ça.